Le Mouvement Raëlien témoigne à l’OSCE de l’absence de progrès de la Belgique et de la France en matière de respect des minorités religieuses
Ces deux pays sont chaque année condamnées par l’OSCE pour leurs politiques discriminatoires envers les minorités religieuses !
Cette année encore, Princess Loona, porte parole du Mouvement Raëlien Européen, a pris la parole lors de la plus grande conférence européenne sur les droits de l’homme qu’est l’Human Dimension Implementation Meeting (HDIM) organisée par l’OSCE à Varsovie les 25 et 26 septembre. Elle a dénoncé les nombreuses discriminations que les membres des mouvements raëliens belge, français et suisse subissent : perte d’emploi, agressions diverses, refus de location de salle, refus de participation lors d’événements publics, refus de la garde parentale en cas de divorce pour cause d’appartenance au raëlisme…
Elle a rappele aussi que ces nombreux cas de discriminations trouvent leurs origines dans deux actions antidémocratiques des gouvernements français et belges : la première étant la création il y a 10 ans d’une liste des sectes, reprises depuis par les médias et servant à discriminer les sous-citoyens dangereux des bons citoyens et la deuxième étant l'abondance de subvention en provenance des deniers publics pour les organismes de lutte contre les nouvelles minorités religieuses.
Les gouvernements français et belges se défendent sur le premier point en disant que cette liste n’a pas de valeur juridique et n'est qu'un document de travail, ce à quoi Princess Loona répond que "Non seulement la haine que ces listes ont engendrée a eu d’énormes conséquences psychologiques et sociales que ces gouvernements irresponsables ne peuvent nier, et que d’autre part cette liste sert de bouclier juridique à tous les diffamateurs.
En effet en France, les Cours et Tribunaux se fondent sur le honteux rapport Guyard et la liste qu’il contient pour reconnaître la « bonne foi » des personnes (journalistes, particuliers, ..) qui profèrent de graves accusations diffamatoires envers les minorités religieuses. Ainsi, la diffamation devient acceptable pour les magistrats français si elle concerne les mouvements, ou leurs fondateurs et membres, listés en qualité de « sectes ». Princess Loona ajoute : « Nos dossiers juridiques le prouvent ; dans la réalité, les diffamateurs ne sont jamais condamnés alors qu’ils le devraient si leurs diffamations avaient porté sur n’importe quel autre mouvement. En effet, dans beaucoup de cas, se référant aux listes, la bonne foi du diffamateur est reconnue et aucune condamnation n’est prononcée ; aucune réparation n’est alors accordée. »
Ainsi Loona conclut : « Ce double standard permet de mettre en évidence la volonté des pouvoirs publics français et belges de tolérer des agissements discriminatoires y compris ceux de nature à écarter de leur activité professionnelle des personnes à raison de leurs convictions religieuses ».
Volonté confirmée par les subventions anormales aux organismes de lutte contre les nouvelles minorités religieuses que sont l’UNADFI et le CCMM en france et la cellule de lutte contre les sectes nuisibles“ en Belgique.
En effet, ces subventions vont bien à l’encontre de l’esprit des constitutions françaises et belges qui stipulent clairement une séparation entre l’état et les religions.
Cette année encore, Princess Loona, porte parole du Mouvement Raëlien Européen, a pris la parole lors de la plus grande conférence européenne sur les droits de l’homme qu’est l’Human Dimension Implementation Meeting (HDIM) organisée par l’OSCE à Varsovie les 25 et 26 septembre. Elle a dénoncé les nombreuses discriminations que les membres des mouvements raëliens belge, français et suisse subissent : perte d’emploi, agressions diverses, refus de location de salle, refus de participation lors d’événements publics, refus de la garde parentale en cas de divorce pour cause d’appartenance au raëlisme…
Elle a rappele aussi que ces nombreux cas de discriminations trouvent leurs origines dans deux actions antidémocratiques des gouvernements français et belges : la première étant la création il y a 10 ans d’une liste des sectes, reprises depuis par les médias et servant à discriminer les sous-citoyens dangereux des bons citoyens et la deuxième étant l'abondance de subvention en provenance des deniers publics pour les organismes de lutte contre les nouvelles minorités religieuses.
Les gouvernements français et belges se défendent sur le premier point en disant que cette liste n’a pas de valeur juridique et n'est qu'un document de travail, ce à quoi Princess Loona répond que "Non seulement la haine que ces listes ont engendrée a eu d’énormes conséquences psychologiques et sociales que ces gouvernements irresponsables ne peuvent nier, et que d’autre part cette liste sert de bouclier juridique à tous les diffamateurs.
En effet en France, les Cours et Tribunaux se fondent sur le honteux rapport Guyard et la liste qu’il contient pour reconnaître la « bonne foi » des personnes (journalistes, particuliers, ..) qui profèrent de graves accusations diffamatoires envers les minorités religieuses. Ainsi, la diffamation devient acceptable pour les magistrats français si elle concerne les mouvements, ou leurs fondateurs et membres, listés en qualité de « sectes ». Princess Loona ajoute : « Nos dossiers juridiques le prouvent ; dans la réalité, les diffamateurs ne sont jamais condamnés alors qu’ils le devraient si leurs diffamations avaient porté sur n’importe quel autre mouvement. En effet, dans beaucoup de cas, se référant aux listes, la bonne foi du diffamateur est reconnue et aucune condamnation n’est prononcée ; aucune réparation n’est alors accordée. »
Ainsi Loona conclut : « Ce double standard permet de mettre en évidence la volonté des pouvoirs publics français et belges de tolérer des agissements discriminatoires y compris ceux de nature à écarter de leur activité professionnelle des personnes à raison de leurs convictions religieuses ».
Volonté confirmée par les subventions anormales aux organismes de lutte contre les nouvelles minorités religieuses que sont l’UNADFI et le CCMM en france et la cellule de lutte contre les sectes nuisibles“ en Belgique.
En effet, ces subventions vont bien à l’encontre de l’esprit des constitutions françaises et belges qui stipulent clairement une séparation entre l’état et les religions.