RAËL NOMME EYAL SIVAN GUIDE HONORAIRE DU MOUVEMENT RAËLIEN
Cette semaine, RAËL a attribué le titre de guide honoraire du Mouvement Raëlien à Eyal Sivan, directeur du film « Route181 : Fragments d'un séjour en Israël-Palestine »
Son film, qui présente l'histoire d'une grande variété de personnes qui vivent le long de la ligne de démarcation de 1947 entre les deux pays, a capturé les fragments d'une terre bouleversée par la politique, l'histoire et le colonialisme. Il dépeint la division physique du territoire aussi bien que celle des humains qui l'habitent, et plus particulièrement la profonde haine raciale des Israëliens envers les Palestiniens, qui n'est pas réciproque. Aucun des Palestiniens présentés dans le film ne partage le racisme de plusieurs des Israëliens interviewés. Un Palestinien après l’autre rappelle le temps où les juifs, les chrétiens et les musulmans vivaient ensemble harmonieusement, la religion n’étant alors pas un problème.
Eyal Sivan exprime clairement sa préférence et son choix de voir les Israëliens et les Palestiniens vivre ensemble plutôt que séparés. Mais il se rend compte que ces Israëliens juifs qui placent un état purement juif au-dessus de la coexistence avec les Palestiniens sont un obstacle à cette solution, et le film présente très bien cette attitude.
Après Tali Fahima, l'activiste israëlienne pacifiste qui a passé deux ans en prison dans son pays pour avoir aidé Zakaria Zubeidi, un des terroristes les plus recherchés en Cisfordanie, c'est a nouveau un autre activiste israëlien aidant les Palestiniens qui a reçu le titre de « Guide de l'humanité ».
RAËL, fondateur et chef du Mouvement Raëlien, a exprimé à plusieurs reprises son espoir de voir se lever un Gandhi israëlien, un chef qui montrerait que la non-violence absolue est tellement nécessaire dans cette partie du globe où ceux qui nous ont créés, les Élohim, ont demandé à être accueillis dans une ambassade sur une zone démilitarisée. Une des premières étapes avant de construire cette ambassade est certes d’arrêter les conflits locaux et de voir les Juifs et les Palestiniens vivre harmonieusement ensemble à nouveau.
Son film, qui présente l'histoire d'une grande variété de personnes qui vivent le long de la ligne de démarcation de 1947 entre les deux pays, a capturé les fragments d'une terre bouleversée par la politique, l'histoire et le colonialisme. Il dépeint la division physique du territoire aussi bien que celle des humains qui l'habitent, et plus particulièrement la profonde haine raciale des Israëliens envers les Palestiniens, qui n'est pas réciproque. Aucun des Palestiniens présentés dans le film ne partage le racisme de plusieurs des Israëliens interviewés. Un Palestinien après l’autre rappelle le temps où les juifs, les chrétiens et les musulmans vivaient ensemble harmonieusement, la religion n’étant alors pas un problème.
Eyal Sivan exprime clairement sa préférence et son choix de voir les Israëliens et les Palestiniens vivre ensemble plutôt que séparés. Mais il se rend compte que ces Israëliens juifs qui placent un état purement juif au-dessus de la coexistence avec les Palestiniens sont un obstacle à cette solution, et le film présente très bien cette attitude.
Après Tali Fahima, l'activiste israëlienne pacifiste qui a passé deux ans en prison dans son pays pour avoir aidé Zakaria Zubeidi, un des terroristes les plus recherchés en Cisfordanie, c'est a nouveau un autre activiste israëlien aidant les Palestiniens qui a reçu le titre de « Guide de l'humanité ».
RAËL, fondateur et chef du Mouvement Raëlien, a exprimé à plusieurs reprises son espoir de voir se lever un Gandhi israëlien, un chef qui montrerait que la non-violence absolue est tellement nécessaire dans cette partie du globe où ceux qui nous ont créés, les Élohim, ont demandé à être accueillis dans une ambassade sur une zone démilitarisée. Une des premières étapes avant de construire cette ambassade est certes d’arrêter les conflits locaux et de voir les Juifs et les Palestiniens vivre harmonieusement ensemble à nouveau.