Méditation planétaire pour les victimes des effets secondaires des "vaccins" Covid Samedi 10 décembre
Le 10 décembre prochain, le Mouvement Raélien International organise une méditation au bénéfice des victimes des effets secondaires des dits vaccins contre le Covid.
Il s’agira d’une méditation de compassion à l’égard des très nombreuses personnes qui souffrent, dans l’indifférence quasi-générale, de différents troubles de la santé allant de problèmes de peau jusqu’à de sérieuses perturbations cardiaques, relatés à la fois par de nombreuses études scientifiques et par les personnes affectées et leurs proches.
"Ces constats flagrants rencontrent le silence des autorités, pourtant si réactives et bruyantes lorsqu’il s’agissait de comptabiliser le moindre 'cas' Covid. Ces victimes sont abandonnées et c’est pour elles que nous méditerons dans le but de leur apporter du réconfort et une reconnaissance de leur souffrances," déclare David Uzal, Guide Raélien, organisateur de l’événement.
"Les dits vaccins ARN inoculés dans les conditions que l’on connaît ont été présentés comme la panacée qui protégerait à la fois la collectivité en empêchant la diffusion du virus et l’individu en l’immunisant contre celui-ci," explique David Uzal. "On comprend qu’il soit difficile pour ceux et celles qui ont véhiculé ces certitudes, en bénéficiant de moyens de propagande et de coercition presque illimités, de prendre en considération la douleur de ceux qui les ont crus et suivis."
La méditation organisée par le Mouvement Raélien ne prétend pas guérir et encore moins faire des miracles. Les organisateurs précisent qu’elle est motivée par la compassion à l’égard de ceux qui se sont trompés et en souffrent. "Le pouvoir de la méditation collective réside dans la capacité de se réunir dans une neutralité bienfaisante, quelles que soient les idées et convictions de chacun et de suspendre son jugement tout en appliquant la méthode méditative du vide, celle qui ramène l’homme pressé et préoccupé à la sérénité, à la paix, à l’amour d’autrui,” ajoute David Uzal.
"La pratique et des études scientifiques récentes démontrent les effets bénéfiques, de ce type de méditation, pour soi et son environnement et nous sommes fiers d’accueillir régulièrement dans nos meditations en ligne des méditants de toute confession et espérons que ce sera le cas ce 10 décembre aussi."
Raël, leader spirituel du Mouvement Raélien international, est l’instigateur de cette rencontre qui s’inscrit dans sa promotion active de la méditation, qu’elle soit pour le bien-être individuel ou la recherche collective de la paix. Cet événement reflète aussi la position extrêmement critique qu’il a affiché très tôt à l’égard des mesures dites sanitaires qui, au nom d’une lutte collective contre un virus, ont engendré une terrible et inédite déshumanisation par l’élimination des sourires et l’altération de la respiration (masques), par la destruction des libertés les plus fondamentales que l’on croyait protégées à jamais ou par les pressions diverses incitant à l’inoculation du dit vaccin dont les effets secondaires sont aussi inédits dans leur ampleur que l’ont été les contraintes pour l’administrer au plus grand nombre.
Il s’agira d’une méditation de compassion à l’égard des très nombreuses personnes qui souffrent, dans l’indifférence quasi-générale, de différents troubles de la santé allant de problèmes de peau jusqu’à de sérieuses perturbations cardiaques, relatés à la fois par de nombreuses études scientifiques et par les personnes affectées et leurs proches.
"Ces constats flagrants rencontrent le silence des autorités, pourtant si réactives et bruyantes lorsqu’il s’agissait de comptabiliser le moindre 'cas' Covid. Ces victimes sont abandonnées et c’est pour elles que nous méditerons dans le but de leur apporter du réconfort et une reconnaissance de leur souffrances," déclare David Uzal, Guide Raélien, organisateur de l’événement.
"Les dits vaccins ARN inoculés dans les conditions que l’on connaît ont été présentés comme la panacée qui protégerait à la fois la collectivité en empêchant la diffusion du virus et l’individu en l’immunisant contre celui-ci," explique David Uzal. "On comprend qu’il soit difficile pour ceux et celles qui ont véhiculé ces certitudes, en bénéficiant de moyens de propagande et de coercition presque illimités, de prendre en considération la douleur de ceux qui les ont crus et suivis."
La méditation organisée par le Mouvement Raélien ne prétend pas guérir et encore moins faire des miracles. Les organisateurs précisent qu’elle est motivée par la compassion à l’égard de ceux qui se sont trompés et en souffrent. "Le pouvoir de la méditation collective réside dans la capacité de se réunir dans une neutralité bienfaisante, quelles que soient les idées et convictions de chacun et de suspendre son jugement tout en appliquant la méthode méditative du vide, celle qui ramène l’homme pressé et préoccupé à la sérénité, à la paix, à l’amour d’autrui,” ajoute David Uzal.
"La pratique et des études scientifiques récentes démontrent les effets bénéfiques, de ce type de méditation, pour soi et son environnement et nous sommes fiers d’accueillir régulièrement dans nos meditations en ligne des méditants de toute confession et espérons que ce sera le cas ce 10 décembre aussi."
Raël, leader spirituel du Mouvement Raélien international, est l’instigateur de cette rencontre qui s’inscrit dans sa promotion active de la méditation, qu’elle soit pour le bien-être individuel ou la recherche collective de la paix. Cet événement reflète aussi la position extrêmement critique qu’il a affiché très tôt à l’égard des mesures dites sanitaires qui, au nom d’une lutte collective contre un virus, ont engendré une terrible et inédite déshumanisation par l’élimination des sourires et l’altération de la respiration (masques), par la destruction des libertés les plus fondamentales que l’on croyait protégées à jamais ou par les pressions diverses incitant à l’inoculation du dit vaccin dont les effets secondaires sont aussi inédits dans leur ampleur que l’ont été les contraintes pour l’administrer au plus grand nombre.