Raël soutient l’Alliance des États du Sahel, les Raéliens jubilent !
Ouagadougou, 19 Septembre 2023 - Lors de son intervention dominicale du 17 septembre 2023, le Prophète Raël, fondateur et leader spirituel du Mouvement Raélien International, a réitéré son soutien inconditionnel aux dirigeants et aux populations des pays de l'Alliance des États du Sahel (AES) actuellement en lutte pour leur souveraineté.
« Je souhaite que ces pays de l’AES joignent les BRICS à l’instar de l’Afrique du Sud et qu’en attendant d’avoir une puissance militaire suffisamment dissuasive, ils demandent à la Chine et à la Russie d’ouvrir des bases militaires en Afrique afin que les anciens colonisateurs ne soient jamais tentés d’y revenir par la force » précise Raël.
Ditalamane Hebié, porte-parole du Mouvement Raelien en Kama (nom authentique de l’Afrique avant la colonisation), affirme que la signature de la charte de l’Alliance des États du Sahel par les trois chefs d’État du Mali, du Burkina Faso et du Niger le 16 septembre 2023 est un pas décisif qui fera date dans l’histoire de l’Afrique dans la quête de sa souveraineté pour son émancipation.
Pour les Raéliens, l’annonce de la création de l’Alliance (1) est un motif de satisfaction et de réjouissance car cela fait écho à l’appel fait par Raël aux africains en 1989 quand il a lancé : « Afrique, réveille-toi ! » « Wake up Africa ! » (voir raelafrica.org ; unitedkingdomsofkama.org). C’est un pas important qui est fait dans la direction de la réalisation d’un pays unique africain. « En effet, depuis les années 80 et jusqu’à nos jours, le Prophète Raël ne cesse d’appeler les Africains à créer les « États-Unis d’Afrique » et la jeunesse africaine notamment à pousser leurs dirigeants à rompre systématiquement les relations néocoloniales qui les lient avec l’ex-colonisateur et qui bloquent toute possibilité de développement et d’épanouissement de l’Afrique » précise Hebié.
Quand on regarde tout ce qui se passe actuellement au Mali, au Burkina Faso, au Niger, à savoir la révision des accords de coopération avec la France, la fermeture des bases militaires et l’expulsion des militaires français, le renforcement de la coopération militaire avec la Russie, etc., c’est exactement ce que Raël demande aux Africains de faire depuis trois décennies.
Depuis longtemps Raël souhaite publiquement « que les pays d’Afrique abandonnent cette honteuse monnaie coloniale qu’est le Franc CFA et cessent de payer cet honteux impôt colonial qui forçait les anciennes colonies à payer des "dommages" et "compensations" à la France et le remboursement avec intérêts des sommes versées depuis la pseudo décolonisation. »
« Au contraire un véritable impôt de décolonisation devrait être instauré qui forcerait les anciens colonisateurs, outre le remboursement de l'ancien impôt colonial, à payer des dommages et compensations pour les abus et pillages de ressources qui ont eu lieu durant la colonisation » précise-t-il.
« Alors pour nous, le soutien du Mouvement Raélien ne peut qu’être total face aux agressions et menaces que subissent les pays de l’AES! » s’exclame Hébié.
Nous demandons aux dirigeants des pays de l’AES d’aller plus loin dans l’intégration en incluant dans la charte de l’Alliance les bases des unités politique et économique des États en vue de créer le premier noyau des États-Unis d’Afrique.
(1) RT Africa : https://www.rt.com/africa/583081-mali-burkina-niger-military-pact/
« Je souhaite que ces pays de l’AES joignent les BRICS à l’instar de l’Afrique du Sud et qu’en attendant d’avoir une puissance militaire suffisamment dissuasive, ils demandent à la Chine et à la Russie d’ouvrir des bases militaires en Afrique afin que les anciens colonisateurs ne soient jamais tentés d’y revenir par la force » précise Raël.
Ditalamane Hebié, porte-parole du Mouvement Raelien en Kama (nom authentique de l’Afrique avant la colonisation), affirme que la signature de la charte de l’Alliance des États du Sahel par les trois chefs d’État du Mali, du Burkina Faso et du Niger le 16 septembre 2023 est un pas décisif qui fera date dans l’histoire de l’Afrique dans la quête de sa souveraineté pour son émancipation.
Pour les Raéliens, l’annonce de la création de l’Alliance (1) est un motif de satisfaction et de réjouissance car cela fait écho à l’appel fait par Raël aux africains en 1989 quand il a lancé : « Afrique, réveille-toi ! » « Wake up Africa ! » (voir raelafrica.org ; unitedkingdomsofkama.org). C’est un pas important qui est fait dans la direction de la réalisation d’un pays unique africain. « En effet, depuis les années 80 et jusqu’à nos jours, le Prophète Raël ne cesse d’appeler les Africains à créer les « États-Unis d’Afrique » et la jeunesse africaine notamment à pousser leurs dirigeants à rompre systématiquement les relations néocoloniales qui les lient avec l’ex-colonisateur et qui bloquent toute possibilité de développement et d’épanouissement de l’Afrique » précise Hebié.
Quand on regarde tout ce qui se passe actuellement au Mali, au Burkina Faso, au Niger, à savoir la révision des accords de coopération avec la France, la fermeture des bases militaires et l’expulsion des militaires français, le renforcement de la coopération militaire avec la Russie, etc., c’est exactement ce que Raël demande aux Africains de faire depuis trois décennies.
Depuis longtemps Raël souhaite publiquement « que les pays d’Afrique abandonnent cette honteuse monnaie coloniale qu’est le Franc CFA et cessent de payer cet honteux impôt colonial qui forçait les anciennes colonies à payer des "dommages" et "compensations" à la France et le remboursement avec intérêts des sommes versées depuis la pseudo décolonisation. »
« Au contraire un véritable impôt de décolonisation devrait être instauré qui forcerait les anciens colonisateurs, outre le remboursement de l'ancien impôt colonial, à payer des dommages et compensations pour les abus et pillages de ressources qui ont eu lieu durant la colonisation » précise-t-il.
« Alors pour nous, le soutien du Mouvement Raélien ne peut qu’être total face aux agressions et menaces que subissent les pays de l’AES! » s’exclame Hébié.
Nous demandons aux dirigeants des pays de l’AES d’aller plus loin dans l’intégration en incluant dans la charte de l’Alliance les bases des unités politique et économique des États en vue de créer le premier noyau des États-Unis d’Afrique.
(1) RT Africa : https://www.rt.com/africa/583081-mali-burkina-niger-military-pact/